Retour sur Dmexco édition 2016 : Episode 1
Dmexco 2016 est passé et les compte-rendus abondent… Commençons par une petite mise en lumière d’une chronique du JDN par S4M qui a sélectionné des sujets phares du marketing digital évoqués lors du plus grand évènement consacré à la discipline.
Contourner l’adblocking ou parvenir à un consensus avec l’internaute ?
Dmexco a bien été l’occasion immanquable de reparler du côté néfaste des bloqueurs de publicité. Concernant le sujet, deux camps se sont opposés : avec d’une part ceux qui sont pour le contournement de cette pratique, parmi lesquels on a compté Adblock Plus qui a confirmé le lancement de sa plate-forme programmatique destinée à permettre l’affichage de publicités sur les devices munis d’un adblocker; de l’autre côté le camp de ceux qui souhaitent opter pour des méthodes qui respectent le choix de l’internaute. Parmi ces derniers, Google et Appnexus n’ont pas manqué de faire savoir leur désaccord face au projet d’Adblock Plus. Ils ont d’ailleurs annoncé la fin de leur partenariat avec ComboTag, SSP avec lequel travaillera Adblock Plus.
De nouveaux standards restent à trouver pour contrer la fraude
L’Association of National Advertisers prévoit que le trafic digital frauduleux tous devices confondus représentera une perte de 7,2 milliards de dollars en 2016. En menant une étude S4M aurait constaté 23 % de perte entre le moment où un format est appelé et une impression est visible à l’écran. Visibilité, nouveaux standards de mesure et de rémunération, technologies tierces d’adverification…L’industrie n’a pas fini de se creuser les méninges pour réussir à contrer définitivement la fraude et Dmexco était bien l’endroit adéquate pour en discuter.
Contenu et storytelling
Autre sujet de l’évènement : le contenu et le storytelling.
Si la vidéo enrichit le contenu, le storytelling lui à tendance à s’appauvrir. Bien que le contenu de marque se multiplie en genre et en nombre, il semblerait en effet qu’il n’accroche plus autant les utilisateurs. Les formats « live » ou «real-time» ont fait leur entrée sur les réseaux sociaux et il semblerait bien qu’ils puissent offrir une bouffée d’air frais au story telling.
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