Ratecard Days #12 : ce qu’il faut retenir des interviews Focus Special Trends
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Ratecard Days #12 : ce qu’il faut retenir des interviews Focus Special Trends

Le vendredi 17 juin dernier se tenaient les Ratecard Days#12 depuis Ratecard Agora. Durant le webinar Focus, les intervenants (AdTech) ont été interviewés concernant les nouvelles tendances du marché.
Vous n’avez pas eu la chance d’y assister ? Voici les points essentiels à retenir des interviews Focus, ainsi que leurs replay disponible sur Agora.

Amnet – Anne Marie KALINKA, Directrice Général

Au deuxième semestre, le device TV connectée devrait prendre de plus en plus de parts dans l’achat et les campagnes publicitaires programmatiques (TV programmatique segmentée, TV linéaire programmatique).C’est un device de plus en plus important pour les Français dont les inventaires se structurent peu à peu, tandis que la SVOD ambitionne progressivement de monétiser des espaces publicitaires.

Amnet (trading desk) souhaite aujourd’hui tirer parti de la TV segmentée pour travailler avec les annonceurs dans le cadre de campagnes programmatiques omnicanales.
Pour Amnet, nous sommes dans une année charnière entre fin des cookies tiers et développement de la CTV sur le programmatique. Il est indispensable d’accompagner les annonceurs dans le cadre de ces changements structurels, et d’évangéliser ces sujets, en espérant que les budgets ne soient pas trop affectés par l’actualité politique et technologique..

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Kawarizmi – Salif DIOP, CEO & Co-founder

Le programmatique se développe progressivement sur le marché Afrique/Moyen-Orient. Afin de répondre aux besoins de ce marché, Kawarizmi, trading desk spécialisé sur les audiences Afrique/Moyen-Orient est en train de créer une marketplace programmatique dédiée premium et brandsafe dans le but de rendre accessibles les inventaires (display, audio, vidéo, CTV, DOOH). Actuellement, l’entreprise accompagne par ailleurs les éditeurs dans le branchement de leurs inventaires en programmatique, et occupe un rôle central pour trouver les bons leviers et formats permettant de proposer à la marque des dispositifs pertinents.

Au printemps dernier, Kawarizmi a notamment été le premier à acheter une campagne Air France en DOOH avec Displayce.L’Afrique/Moyen-Orient est un marché stimulant qui représente beaucoup d’opportunités tout en rattrapant rapidement son retard.
La future marketplace de Kawarizmi permettra de monétiser aussi bien les audiences locales que les audiences européennes ainsi que d’aider les éditeurs européens à monétiser leurs inventaires africains.

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Digiteka – Bruno JAUFFRET

En 2022, la tendance est également à l’éco responsabilité au sein de l’écosystème. Pour agir face à l’ampleur de l’empreinte numérique de la vidéo, dévoilée dans le rapport Shift Project, Digiteka, l’adtech française spécialisée dans la vidéo a récemment lancé une démarche low carbon (RSE). Très engagée (ex : mécénat de compétences), la société a en effet signé un partenariat avec Impact+, expert de la mesure de l’impact environnemental des campagnes publicitaires. L’objectif : fournir cette information aux annonceurs et les intégrer dans ses outils dans le but de tendre vers des campagnes vertueuses (poids des créations, optimisation de la diffusion par rapport aux devices, réseaux, heures, jours, etc.). Digiteka a par ailleurs créé son propre calculateur en travaillant avec BL évolution, cabinet de conseil en transition écologique, pour l’intégrer à ses plateformes.

En outre, son partenariat avec Reforest’Action offre la possibilité aux annonceurs d’acheter des crédits carbones pour investir la valeur résiduelle de la campagne dans la reforestation.
Pour finir, Digiteka a lancé le format Green&Watch spécifiant que la publicité diffusée par l’annonceur sur son réseau est éco-responsable.

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Orixa Media – Alban Besnier, DGA, COO, Managing Director

La montée de la RSE, de ses problématiques et réglementations représente une aubaine pour certaines entreprises de l’écosystème et leurs partenaires. C’est le cas d’Orixa Media, agence omnicanale indépendante, qui dispose d’une ADN très tournée vers les ONG (représentant la moitié de ses clients).
Orixa Media a en effet créé des offres permettant de reverser une partie des investissements média de certains annonceurs (ex : campagnes branding) à certaines associations en tripartite avec l’annonceur. L’objectif : faire participer les annonceurs au développement et à la transformation digitale des associations caritatives.
Aujourd’hui, Orixa Media accompagne plus de 80 associations, avec un portefeuille composé à 50/50 d’associations/fondations et d’entreprises du secteur marchand.

Orixa accompagne en effet tout type d’annonceurs, de la start-up aux entreprises du CAC 40 en passant par les associations, et cherche à intégrer l’ensemble des problématiques omnicanales à son offre pour créer une unité dans l’ensemble des plans marketing des annonceurs.

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ZBO Media – Antoine Saglier, Directeur Général

ZBO Media, historiquement trading desk, se transforme en agence conseil média et étend son offre. Outre le RTB traditionnel, la tendance pour ZBO Media, c’est les OPS (opérations spéciales), en croissance au sein du groupe, proposées avec ses partenaires éditeurs (ex : CCM, Journal du Net,…).
Le principe des OPS : raconter une histoire vraie au sujet de l’annonceur, qui apporte transparence et confiance, avec la caution de l’éditeur.
Concrètement, du trafic est généré sur les sites du groupe pour offrir de la visibilité à aux OPS aussi bien via le programmatique que via les réseaux sociaux et les divers relais.
Depuis quelques mois, ZBO Media connait notamment une grosse accélération sur les formats vidéo courts avec Tik Tok.

L’autre tendance pour ZBO Media est le DOOH, que l’entreprise achète de plus en plus pour le compte des annonceurs.

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LiveRamp – Gergana KIROVSKA, Director Adressability Europe

LiveRamp travaille à la fois sur les parties demand-side et la supply-side. Son objectif principal est de connecter l’offre (éditeurs) et la demande (annonceurs) par des moyens déterministiques et adressables. Pour ce faire, LiveRamp a construit une infrastructure indépendante des cookies ou de tout autre identifiant alternatif traditionnel, qui repose sur l’ID de LiveRamp (Ramp ID). Ainsi, les annonceurs sont en mesure d’atteindre leurs audiences, mesurer, attribuer, analyser et maximiser le retour sur investissement, tandis que les éditeurs peuvent accéder à des revenus incrémentaux qui traditionnellement revenaient aux walled gardens.

LiveRamp publiera prochainement 3 études de cas présentant les résultats de leurs efforts de ces dernières années : reach incrémental (à travers des environnements auparavant inaccessibles étant dépendant des cookies), croissance des conversions (avec l’amélioration de la communication entre annonceur et éditeur permise par l’ID de LiveRamp), et mesurabilité de l’impact des investissements digitaux sur les ventes offline.
La prochaine étape pour LiveRamp : permettre aux annonceurs de faire de l’analytics, de la mesure, conversion, attribution, retargeting avec une solution cookieless.

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Piano – Mickaël Lucarelli, ingénieur d’affaire

Mettre en place un business d’abonnement prospère en évitant les obstacles (sensibilité des utilisateurs mobile à toute friction, aux communications et interfaces, prix et promotions, etc.) requiert de comprendre comment les utilisateurs convertissent : qu’est ce qui les amène à convertir, comment ils accèdent au contenu et où ils convertissent.

Piano aide les entreprises à analyser et activer ses données pour faire des parcours clients bien ciblés et personnalisés sur leurs sites web et propriétés numériques.

Avec plus de 140 milliards de pages vues par mois à travers les sites de ses clients éditeurs, Piano est capable d’extraire des données uniques sur les comportements des clients utiles dans le cadre de l’élaboration des stratégies d’abonnement à succès.

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Mediasmart – Jonathan Hagege, Commercial Director – Country Lead

Grâce à son ADN mobile, Mediasmart, plateforme programmatique en libre-service, est aujourd’hui en mesure de faire plein d’autres choses et de répondre à diverses problématiques : campagnes à la performance, drive to store, Household Sync (synchronisation par foyer pour de la publicité CTV), audio, DOOH prochainement.

L’entreprise va prochainement lancer un produit destiné à réaliser de l’acquisition et des conversions en app marketing pour de la CTV. Celui-ci permettra notamment aux acteurs OTT (ex : Netflix, Prime Video, etc.) de générer du trafic sur leurs applications en CTV et de retrouver des métriques permettant de comptabiliser le nombre de conversions réalisées via la plateforme (avec Adjust).

Mediasmart recrute des profils commerciaux au UK et en Italie.

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Permutive – Louis LEBERT, Sales Director

Permutive accompagne traditionnellement les éditeurs et leurs régies dans la meilleure valorisation de leurs inventaires alors que le marché et la protection de la vie privée évolue en restreignant le volume de données disponibles (fin des cookies tiers) avec un impact sur les capacités de ciblage et le chiffre d’affaires des éditeurs. Permutive aide les éditeurs à mieux monétiser leurs inventaires en leur permettant d’être capable de proposer de la data 1st party (donnée pérenne et valeur première d’un éditeur) et de l’audience qualifiée.
L’objectif de Permutive : permettre aux éditeurs et à leurs régies de valoriser 100% des utilisateurs grâce à la 1st party data.

Permutive a créé un logiciel basé sur une technologie unique : l’Edge Computing. Celle-ci permet de collecter, de processer la data sur le device de l’utilisateur et de segmenter un utilisateur avant que l’ad request soit envoyée (quel que soit le navigateur et le device, de façon conforme au RGPD). Les Echos Le Parisien a récemment lancé son offre SONAR avec Permutive.

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BeOp – Nicolas SADKI, Co-Founder

BeOp est une solution cookieless, contextuelle & conversationnelle qui apporte une proposition unique sur le marché autour de l’interaction (questions).

Parmi sa suite d’outils, BeOp propose aujourd’hui du retargeting aux éditeurs. Tous les médias équipés de la technologie Permutive vont pouvoir activer les segments Permutive directement au sein de la plateforme BeOp. Les éditeurs seront ainsi en mesure de bénéficier de la mesure d’efficacité et de caution média de son opération via des post tests (déclaratifs), sans faire appel à des tiers mesureurs comme c’est le cas sur le marché traditionnellement. Ex : Parmi ces messages publicitaires, lequel avez-vous en tête? A quelle marque attribuez-vous ce message ?

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Opti Digital – Magali Quentel-Reme, Co-Founder & CEO

La disparition des cookies tiers suscite des inquiétudes du côté des éditeurs qui redoutent de perdre une partie importante de leur chiffre d’affaires. Pour Opti Digital, partenaire technologique et stratégique des éditeurs de médias en ligne, il est important de mettre en place des emplacements publicitaires avec une bonne rentabilité, sans affecter l’expérience utilisateur avec une mauvaise gestion de la pression publicitaire. Pour respecter le choix de l’internaute qui peut refuser les cookies, Opti Digital valorise les inventaires via la mise en place de mesures, d’A/B tests, etc.
Opti Digital essaye d’engager la conversation avec les éditeurs pour les aider à engager leurs clients visiteurs afin qu’ils s’identifient sur le site en permettant de collecter de la 1st party data sur laquelle sera basée le ciblage et donc de maintenir un niveau de rentabilité élevé par affichage.

Opti Digital met également en place et déploie une nouvelle solution de prix plancher, calculés dynamiquement avec des algorithmes et du machine learning.
Opti Digital propose également son wrapper prebid server incluant un certain nombre de SSP pour avoir un niveau de granularité intéressant dans l’analyse.

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Outbrain – Nicolas FICCA, Head of Supply France

Outbrain, leader du Discovery dans le monde, annonce plusieurs nouveautés :

Smartlogic : nouvel algorythme et évolution du Smartfeed d’Outbrain permettant plus de diversité et donc d’efficacité pour faire mieux (engagement utilisateur accru et donc meilleurs RPM et CTR) avec moins. L’objectif est de booster la monétisation du feed tout en évitant qu’il soit trop long et répétitif, en proposant une expérience ultra engageante grâce notamment aux formats (tels qu’un carroussel, une storie, de la vidéo).

L’acquisition de video intelligence (vi) qui va permettre à Outbrain d’ajouter une “brique” vidéo dans le feed mais aussi au sein des emplacements inRead, sur lesquels l’entreprise est positionnée en header bidding.

Keystone (lancement prochainement) : “Feed Management System” qui va permettre de proposer aux éditeurs de gérer des feeds qu’ils peuvent positionner où ils le souhaitent sur leurs sites et de gérer des objectifs variés et parfois contradictoires (abonnement, monétisation, e-commerce, éditorial) simplement et de manière unifiée, sans avoir à toucher à leur propres outils.

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TABOOLA – Benoît COCHET, Country Manager France

Les éditeurs ont beaucoup de challenges à relever : la gestion de la monétisation des inventaires non-consentis qui ont grossi de façon importante et sont moins valorisables, la préparation à la fin des cookies tiers et la diversification des revenus (pub, abonnements, content commerce). Taboola accompagne les éditeurs sur ces problématiques. L’outil d’aide à la décision éditoriale de Taboola (newsroom) permet notamment de comprendre les tendances des contenus à produire pour générer plus d’engagement et booster les abonnements.

Taboola a fait l’acquisition de Gravity R&D qui a gagné le concours de recommandation algorithmique de Netflix. Cette acquisition va permettre à Taboola de développer davantage ses solutions contextuelles et de recommandation de contenu.
Taboola lance également un format rich media avec des cartes plus engageantes et interactives pour les utilisateurs.
En outre, le content commerce est une vraie tendance. L’an passé, Taboola a racheté Connexity, spécialisée sur le content commerce qui représente juqu’à 20 à 30 % des revenus totaux des éditeurs. Le content commerce est en croissance au UK et aux US.

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BRUT ADNETWORK – Dounia ZOUINE, VP/Group Chief Data Officer

Les réseaux sociaux (Facebook, Snapchat, Tik Tok, etc) sont des partenaires pour Brut. Brut est en effet consommé de façon mainstream sur les réseaux sociaux et la majorité de ses audiences restera probablement sur les réseaux sociaux. La data opérée par Brut est donc une 1st party data (audience et catalogue vidéo), traitée avec la computer vision et du natural language processing pour comprendre sémantiquement dans le texte et dans la vidéo ainsi que dans le speech to text ce qui est exploitable. Le reste de la donnée provient des plateformes (data second party).

L’objectif de Brut est de toucher toute une génération qui ne regarde pas la TV, n’écoute pas la radio, ne lit pas le journal et qui pourtant consomme et s’engage sur des sujets politiques et sociaux sur médias qui sont les leurs. Aujourd’hui, Brut touche 1,5 milliards de personnes touchées chaque mois dans le monde, 70 millions en Europe. Il s’agit du premier média anglophone en Inde.Brut a lancé Brut shop, une joint-venture avec Carrefour, sur du live shopping qui enregistre des résultats intéressants par rapport à la cible de Brut.

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ADYOULIKE – Yohan ELMAALEM, Co- Founder & COO

Après 11 ans d’existence, Adyoulike a été rachetée par OpenWeb (reste toujours indépendant en Europe sur la partie Tech), une société israelo-américaine en phase avec la mission d’Adyoulike de prendre le meilleur des expériences publicitaires des réseaux sociaux et de les retranscrire sur l’open web (du native advertising, aux stories). OpenWeb déporte les expériences sociales communautaires sur l’open web (sites éditeurs) grâce à des expériences axées autour des conversations (commentaires), avec une modération automatisée permettant des conversations saines.

Différents modules sont proposés par Adyoulike pour enrichir les conversations tout en générant de la first party data pour les éditeurs. Le produit proposé par Adyoulike aux éditeurs permet d’augmenter de +30 à +60% les inscriptions sur site (incluant les abonnements).

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SHOWHEROES – Laurène DEECKE, Head of Publishers & Partnerships France

Le succès de Showheroes s’est construit sur 3 piliers autour de la vidéo : un catalogue de plus de 150 000 vidéos éditoriales à disposition des sites média, un player propriétaire couplé à un outil de sémantique matching et la monétisation des contenus vidéo. Aujourd’hui ShowHeroes va plus loin et enrichit son offre pour les publishers à travers le lancement des plateformes ShowHeroes Monetize et ShowHeroes Play.

ShowHeroes Monetize permet aux éditeurs d’intégrer leurs campagnes directes ou en programmatique et d’ajouter facilement du contenu vidéo à tout site web via le player et la technologique d’hyper-contextualisation du groupe. Cet inventaire vidéo pertinent et affinitaire est monétisable par les forces de ventes directes de ShowHeroes ou celles des éditeurs.

ShowHeroes Play propose une gestion avancée de chaque contenu vidéo. Le player permet également aux éditeurs de diffuser des flux live et des flux de SVOD.

A travers ces deux plateformes connectées l’une à l’autre, qui s’adressent autant à des yield manager qu’à des journalistes, les éditeurs n’ont plus à choisir entre une technologie éditoriale ou publicitaire. Ils bénéficient d’une flexibilité inédite et gardent ainsi le contrôle grâce à des interfaces simplifiées et transparentes.

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VIEWPAY – Marc LEPRAT, Co-founder & CEO

Pour ViewPay, la solution d’adverpayment, pense qu’il faut faire moins mais mieux (ViewPay est entre x2 et x4 en termes de mémorisation, de préférence de marques entre exposés et non exposés). ViewPay vend son format qu’au CPCV lorsque la vue est complète à 100%.
Depuis une dizaine d’année, les régies des éditeurs ont de moins en moins d’inventaires à monétiser. La taille des inventaires a diminué avec l’apparition des ad blockers (entre 10 et 60% de l’audience d’un éditeur), la premiumisation (abonnements) qui a réduit l’inventaire monétiser (environ -30% pour les éditeurs qui entrent dans une logique d’abonnement), le consentement, et la fin des cookies qui arrive (va réduire l’inventaire et la valeur des l’inventaires).

ViewPay a une solution pour chacun de ces problèmes et rattrape ces revenus perdus : à la demande (format qui n’est donc pas ad blocké), positionné dans le paywall (permet de monétiser une partie des articles réservés aux abonnés), permet à l’utilisateur de regarder une publicité s’il ne veut pas consentir (cookieless), ciblage contextuel et en interaction. Fonctionnant en mode SaaS, les éditeurs qui ont des régies publicitaires peuvent adopter et commercialiser ViewPay.

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VIOUSLY – Marie LORIDAN, Founder

Sur 2022, Viously, régie publicitaire et player vidéo, voit se confirmer les tendances observées en 2021. Viously a fait une très bonne année 2021 en doublant son chiffre d’affaire vs 2020, et a accueilli de nouveaux clients, côté éditeur avec le player vidéo et côté régie publicitaire avec les annonceurs et les agences.

Les ambitions de Viously cette année :

  • répliquer à l’international le succès rencontré avec les éditeurs et les agences françaises
  • technologie : continuer à accompagner et équiper les clients, avec le développement d’un dashboard analytics pour les éditeurs (en cours de déploiement)
  • régie : approfondir les insights consommateurs mis à disposition
  • conserver son expertise sur les sujets éditeurs qui permet à Viously de se différencier sur le marché
  • recrutement : recherche de nouveaux talents pour accompagner la croissance de l’entreprise

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IMPACT+ – Marion CARDONA, Co-Founder

Fondée il y a 2 ans, Impact+, première solution permettant aux marques, agences et régies publicitaires de mesurer et réduire l’impact carbone de leurs campagnes publicitaires numériques, est tout d’abord arrivé sur le marché avec une offre à destination des marques et des agences. En fin 2021, l’entreprise a également lancé une offre SaaS à destination des adtech et des régies pour leur permettre de réaliser des analyses et de rentrer dans une démarche de réduction qui mobilise l’ensemble des équipes.

Impact+oeuvre pour aider les acteurs à conserver la même efficacité média tout en réduisant la consommation d’énergie.
Impact+ recrute pour soutenir sa croissance.

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YOTTA – Issam LAHOUASNIA, Founder

Les sociétés préparant la rentrée, on constate des pics de recrutement notamment sur les postes de Sales, Product, et développeurs. Les candidats sont de plus en plus sollicités, avec de multiples processus en parallèle.

Le marché devrait être en ébullition jusqu’à la fin de l’année en raison de la nature de ce marché innovant mais aussi des changements tels que la disparition des cookies tiers face à laquelle apparaissent des innovations.

 


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