Benchmark Meetrics Q2 2017 – Le taux de visibilité en France continue de chuter sauf pour la vidéo
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Meetrics vient de publier son benchmark Q2 2017 concernant le taux de visibilité* dans différents pays européens.

Les taux de visibilité en France continuent de chuter après une brève remontée.

Pour le deuxième trimestre de l’année 2017, 58% des publicités en ligne ont atteint le seuil minimal de visibilité selon la norme MRC le deuxième taux le plus bas depuis un an. Cela représente une baisse significative par rapport à Q1 2017 (60%).

Malgré cette chute, la France se positionne en deuxième place derrière l’Autriche qui la devance de 12 points. En effet, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont un taux de visibilité respectif de 51% et 57%. Pour la première fois, Meetrics a également mesuré le taux de visibilité de la Pologne qui se trouve autour de la moyenne Européenne (57%).

Dans ce nouveau benchmark, Meetrics révèle également les différents taux de visibilité publicitaire des achats en direct et en programmatique en Europe. Mohamed Laaouissi, Country Manager France chez Meetrics, déclare à ce sujet : « Sans surprise, les publicités achetées en direct obtiennent un meilleur taux de visibilité (59%) que celles achetées en programmatique (52%). Les publicités en achat direct sont peut-être plus coûteuses mais leur taux de visibilité est supérieur et elles ont plus de chance d’être diffusées dans un environnement « brand-safe ».

Focus Vidéo

Meetrics a également publié le taux de visibilité international pour les publicités vidéo, révélant ainsi que 69% de ces publicités atteignent le seuil minimal de visibilité selon la norme MRC. En moyenne, une vidéo à l’opportunité d’être visionnée durant 23,4 secondes (bien que cela ne corresponde pas au temps de visionnage réel).

Mohamed Laaouissi, Country Manager France chez Meetrics, commente à propos de ces résultats :

« Alors que les investissements publicitaires continuent de croître, cela est très encourageant de voir d’aussi bons taux de visibilité pour les publicités vidéo. Cela s’explique en partie par le fait que les consommateurs sont de plus engagés par la vidéo en raison de la taille des écrans qui est en de plus en plus grande et le fait qu’ils sont de moins en moins sollicités par d’autres publicités. »


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