Acquisition : couper ou continuer à investir en média en période de crise ? (Tribune A.Peltier, AntVoice)
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Acquisition : couper ou continuer à investir en média en période de crise ? (Tribune A.Peltier, AntVoice)

A l’heure du confinement total dû au coronavirus, nombreuses sont les entreprises qui ont coupé totalement ou partiellement leurs investissements publicitaires, sur Internet ou en off line, quelquefois pour des raisons opérationnelles évidentes, quelquefois par pur réflexe pavlovien que l’on peut bien évidemment comprendre.

Pourtant Internet va être au centre de la vie des français pour les prochaines semaines. Plus que jamais nous allons utiliser Internet comme une formidable opportunité pour nous divertir mais aussi comme une des rares portes sur l’extérieur et … le futur !

Continuer à investir, à contre-courant des comportements généraux, est-ce que cela peut générer de nouvelles opportunités pour les marques et les marchands ?

Un impact réel sur la consommation

Nous rentrons dans une phase que la France n’a pas connu depuis des dizaines d’années, depuis la dernière guerre mondiale.

Le confinement et la fermeture de quasiment tous les lieux de commerce physiques, une priorité incontestable pour lutter contre le coronavirus, vont impacter l’activité de milliers d’entreprises, dont sûrement la vôtre, et bien entendu la consommation des ménages.

En Chine, les ventes au détail, véritable reflet de la consommation, ont baissé de 20% sur les 2 premiers mois de l’année vs la même période en 2019. La surprise vient du fait que ce n’est “que” 20% pour un pays confiné de manière beaucoup plus drastique et plus autoritaire  que nous. Finalement les chinois ont continué à acheter même si la priorité était bien entendu sur les produits de première nécessité. Mais pas que. Ce qui explique cette baisse de la consommation finalement modérée.

D’ailleurs la reprise se fait déjà sentir, avec notamment l’appui des fonds étatiques et des banques pour relancer la consommation.

Les français vont-ils geler tous leurs achats autres que ceux de première nécessité, dans un souci de revenir aux fondamentaux de Maslow ? Ou vont-ils retrouver au bout de quelques jours un comportement plus classique, notamment grâce à Internet ?

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