Le succès des publicités native d’après les marques et les éditeurs
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Quand un article sérieux sur le marketing digital commence par un exemple d'une société française prestigieuse, de surcroît au sujet d'une opération datant de 1900, nous nous sentons comme un devoir patriotique de non seulement le parcourir mais aussi de vous le résumer en quelques lignes. L'exemple en question c'est Michelin, non pas pour son gros bonhomme mais pour son Guide. Le carton fut plein car le contenu était suffisament distant de celui de marque sur le mode "nous parlons des restaurants pour que les gens roulent plus et donc consomment plus de pneus."

Voilà de nos jours ce qui semble définir les succès d'une campagne native digitale :

– il faut aller au-delà du CTR, c'est bizarre, mais il me semble que nous avons déjà entendu cela. L'idée derrière, assez classique, est de dire que l'engagement avec une marque ne se compte pas simplement en nombre de clicks sur une publicité.

– il ne faut pas partir des métriques de l'annonceur mais bien de son objectif (visibilité, ROI, etc…) pour alors définir les métriques en question.

– mais quelles sont elles ces éventuelles métriques du futur ? On nous dit que d'ici 2017, on devrait parler de reach pour une audience et aussi de temps moyen passé par la cible. Et bien évidemment les questions d'overlap entre les différents écrans auront été réglés.

– quant au poids du programmatique, personne n'est vraiment d'accord sur le sujet.


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